Il est connu que Marx et Engels étaient des grands bourgeois n’ayant jamais vraiment travaillé (ce qui leur aurait évité d’écrire autant de bêtises).
Trotski – que ses disciples aiment à présenter comme un pur et un gentil victime du méchant Staline – mérite bien sa place parmi les fondateurs du communisme.
Ayant grandi dans une riche famille juive, ayant de nombreux domestiques et employés chrétiens à son service, Trotski n’a jamais renoncé au luxe.
Après la Révolution bolchevique, il posséda plusieurs demeures somptueuses.
L’une d’elles est actuellement en vente.
Une villa située sur une île proche de Constantinople (actuelle Turquie) : selon une annonce publiée samedi dans le journal Hürriyet, cette vaste demeure de 950 m2 (dix-huit chambres, cinq salles de bains, et un terrain de 3600 mètres carrés) surplombant la mer de Marmara cherche preneur pour 4,4 millions de dollars.
C’est en 1929, après avoir été chassé de Russie par Staline, que le fondateur de l’Armée rouge est venu s’installer à Büyükada, la plus grande île qui forme les îles des Princes, lieu de villégiature privilégié de la bourgeoisie locale.
Sacrés communistes…