Le Point relate (extrait) :
« La veille, Annette Kennealy avait rendu visite à sa mère puis, de retour dans sa ferme du Limpopo, avait partagé un lien sur Facebook : « Pic brutal avec 10 attaques ces quatre derniers jours dont un meurtre de fermier. » Annette Kennealy, 51 ans, était ensuite partie de coucher. C’est sa mère qui a donné l’alerte le 21 mai au matin. Sa fille ne répondant pas à ses appels et à ses messages, elle a prévenu un proche qui s’est précipité jusqu’à l’exploitation située sur la commune de Louis Trichardt dans la province du Limpopo. Il y a découvert Annette Kennealy, face contre terre, dans une mare de sang, l’œil gauche et le front enfoncés. Près du corps, un marteau et une barre de fer.
Une vigie de l’histoire locale des fermiers
Le Point avait rencontré Annette Kennealy. Parmi les fermiers blancs, elle suscitait le respect en raison de son acharnement à défendre leur cause. Divorcée, mère de deux filles, elle vivait entourée de ses chevaux et de ses cinq chiens. Elle sillonnait le Limpopo à bord de son pick-up pour réconforter les survivants des violences des campagnes sud-africaines. Depuis la fin de l’apartheid en 1994, plus de 3 000 fermiers [blancs – NDCI] ont été assassinés. Elle connaissait l’histoire de bon nombre de victimes, comme celle de cette femme rencontrée sur le marché. « Elle a subi quatre opérations de la tête », lançait-elle à son sujet en l’aidant à décharger ses palettes d’œufs. Et la femme devenue borgne de raconter : « Ils m’ont frappée avec une barre de fer, j’ai fini par arrêter de crier, ils m’ont crue morte et ils sont partis. »
Annette Kennealy se désolait d’une chose : les départs de plus en plus nombreux de ses compatriotes. Elle pleurait en écoutant, devant une soupe chauffée au feu de bois, le témoignage de Celia, une voisine habitant à 15 kilomètres de chez elle et victime d’une agression par quatre hommes. « Ils ont dit qu’ils allaient m’égorger et me balancer dans la baignoire », racontait Celia, après avoir été ce jour-là ligotée et traînée jusqu’à sa salle de bains. Elle en avait miraculeusement réchappé. « Elle va partir », pressentait Annette. De fait, Celia décida de s’installer à Los Angeles.
Un assassinat à un moment critique pour les fermiers blancs
La disparition d’Annette Kennealy survient à l’heure où les syndicats de fermiers blancs s’alarment d’une recrudescence des attaques. Celles-ci auraient bondi de 25 % l’an passé. Depuis janvier, 126 agressions ont été recensées ayant entraîné la mort de 16 personnes. Des meurtres souvent précédés d’actes de torture. « Stop au génocide blanc », crient dans les manifestations les membres d’AfriForum, l’association la plus engagée dans la défense des intérêts des Afrikaners, dont les représentants ont rencontré l’an passé John Bolton, le conseiller américain à la Sécurité nationale. […] »
L’Afrique du Sud était le pays le plus prospère et le plus agréable d’Afrique sub-saharienne (mais où les races vivaient séparément, l’apartheid, ce qui était insupportable à la gauche et aux cosmopolites).
Après la révolution menée par le terroriste communiste Mandela, soutenu par l’Occident gauchiste, c’est devenu rapidement un enfer.
En particulier pour les Blancs : eux qui, arrivés les premiers dans cette zone déserte, avaient construit le pays sont maintenant des cibles.
Des milliers de fermiers blancs ont été massacrés (et les citadins sont en grand danger voir ici par exemple), les autres sont expropriés sans compensation, les étudiants blancs sont discriminés, les prisonniers blancs sont victimes de viols collectifs organisés par des officiers de police,
Il y a 56 meurtres, 110 viols et 45 braquages de voitures par jour pour seulement 55 millions d’habitants (27% des hommes avouent avoir violé une femme ou une fillette) !
12% des habitants ont le sida.
Le pays est au bord de la banqueroute.
Bref, les résultats de l’idéologie dominante.
Bientôt en France ?