Une lettre d’insulte à un politicien immigré ou un graffiti sulfureux sont des choses très graves qui mobilisent Président et ministres.
En revanche, le massacre en bande d’un jeune Français est, dans le discours macroniste, une « incivilité ». Il n’y a donc pas vraiment de laisser en prison ses auteurs…
On apprend ainsi que
« Le 9 mars 2019, un étudiant de 23 ans, Bastien Payet, était frappé à mort lors d’une rixe au centre-ville de Reims. Deux des trois suspects mis en examen pour « meurtre » dans cette affaire ont été libérés et placés sous contrôle judiciaire. » (source)