[Tribune libre] Ce lundi 12 novembre 2012 et comme chaque année, plusieurs dizaines de personnes s’étaient déplacées à Verdun, à l’appel de l’ADMP (Association de Défense de la Mémoire du Maréchal Pétain), pour y commémorer l’armistice du 11 novembre 1918, honorer le sacrifice des Poilus et rendre hommage au vainqueur de Verdun, le Général Pétain.
A l’intérieur de l’Ossuaire de Douaumont, « simple et sobre comme l’âme du soldat ; vaste et noble comme la grandeur du sacrifice ; durable, impérissable, comme le souvenir des Héros de Verdun » ainsi que l’avait imaginé le Maréchal Pétain, les pélerins se pressaient dans la chapelle pour se recueillir ; la première pierre de ce monument avait été posée le 22 août 1920 par le Maréchal Pétain, Président d’honneur du Comité de l’Ossuaire, lui qui, trente ans après et à l’article de sa mort, formerait le voeu d’être enterré à Douaumont au milieu de ses soldats. Le 18 septembre 1927, il avait pris la parole à l’occasion du transfert des premiers cercueils de soldats à l’Ossuaire de Douaumont. Enfin, le monument avait été inauguré les 6,7 et 8 août 1932 par un discours du même Maréchal Pétain et en présence des plus hautes autorités.
Ce lundi 12 novembre donc, vers 11 heures du matin, la piété patriotique animait ces dizaines d’hommes et de femmes qui avaient pris place dans la chapelle de l’Ossuaire pour y assister à une messe d’hommage et continuer à y porter fidèlement le message de tant de Français silencieux : « Rendez au plus illustre des soldats l’hommage dernier qui lui est dû, rendez Pétain à Douaumont ! »
Quelle ne fut pas leur surprise et leur indignation alors, dans cette enceinte religieuse dévouée à la patrie, d’entendre le discours d’un militant communiste nommé Michel Berton, curé officiant à Verdun, dont le sermon ne fut qu’une logorrhée gaullo-communiste ! Prenant un malin plaisir -et de multiples fois- à citer et magnifier de Gaulle sans mentionner une seule fois celui qu’on ne peut ignorer en ces lieux, le Général Pétain vainqueur de Verdun, le communiste Michel Berton a ponctué son charabia militant de droit-de-l’hommisme, d’antiracisme et de tolérance, d’antinationalisme, d’antifanatisme politique et religieux, s’inspirant sans doute du nouveau directeur du parti socialiste nommé Harlem Désir. Choisissant délibérément la diabolisation haineuse, le mépris de l’histoire, l’injure faite aux pélerins, le communiste Michel Berton a fait oeuvre basse et provoqué la sortie de la chapelle de plusieurs pélerins, les autres supportant dignement ce nouvel affront des révisionnistes haineux du gaullo-communisme.
Le militant communiste Michel Berton, et ceux ou celui qui l’a commandité, doivent savoir que le « On les aura » du général Pétain s’adresse aussi à eux. Comme le soulignait Philippe Pétain les 6,7 et 8 août 1932 lors de l’inauguration de l’Ossuaire de Douaumont :
« L’exemple de Verdun est là pour témoigner de la capacité d’abnégation, de ténacité et de persévérance de notre race ».
Marcouf de Segons,
de retour de Douaumont