En Argentine, au cours d’une manifestation pour libéraliser les infanticides pré-natals, ces féministes ont au moins le mérite d’afficher clairement le fond de leur croyance :
Qu’elles s’adonnent réellement à la sorcellerie ou qu’elles miment un rituel (en se revendiquant héritières des sorcières pourchassées jadis – qui auraient été des femmes libres mal vues par la chrétienté selon le discours moderne antichrétien et farfelu), ce n’est pas anodin et quand on traite ainsi l’effigie d’un bébé, on mérite évidemment d’être pourchassé.
PS : dans le dernier numéro de la revue L’Héritage, Alain Pascal évoque un peu dans son article les liens entre ésotérisme, hystérie féministe et Mai 68.