La rumeur court sur internet : dans la matinée du vendredi 10 janvier, le Mobilier national en charge de l’aménagement des palais nationaux et autres résidences de l’État (ministères et ambassades) aurait été appelé en urgence à l’Élysée pour procéder à une intervention sur site.
À l’arrivée au Palais, le haut fonctionnaire aurait découvert dans des salons et dans le bureau attribué à Hollande, du mobilier et des objets décoratifs tels que vases précieux de Sèvres, pendule signée par un grand horloger du début du XIXe siècle, consoles, guéridons, fauteuils renversés voire brisés comme pour les garnitures de cheminée gisant en morceaux épars au milieu de papiers et de matériel de bureau, le dessus de la table de travail ayant été balayé avec violence semble-t-il (vases de la manufacture de Sèvres en porcelaine et monture en bronze doré, objets d’art de très grande valeur artistique et historique).
Les dégâts seraient estimés à trois millions d’euros, compte tenu de la grande valeur patrimoniale de ce mobilier d’art et du coût de la restauration pour ce qui est réparable.
Valérie Trierweiler aurait piqué une crise de nerf : voulant se jeter sur Hollande, elle aurait été empêchée par le service de sécurité et la harpie se serait vengée sur le mobilier…