La drépanocytose est une maladie héréditaire grave dont le dépistage à la naissance, en France, est obligatoire pour les enfants dont les parents ont des origines africaines ou orientales.
Les chiffres 2016 viennent d’être rendus publics. C’est le moyen d’avoir une approche statistique du bouleversement démographique mis en œuvre en France, puisque les statistiques ethniques sont interdites par la loi (et pour cause, elles sont alarmantes).
Ci-dessous la carte avec les chiffres de ces dernières années, jusqu’à 2016, par région.
On voit qu’en 2016, 39,39% des naissances en France eurent lieu chez des couples dont l’un des deux membres est d’origine africaine ou orientale.
Un chiffre énorme qui monte à 73,56% pour l’Ile-de-France, et 56,35% en PACA.
Dans ces régions, la « bascule » a donc déjà officiellement eu lieu : bravo aux mondialistes !
Le peuple français est en train de disparaître à grande vitesse.
À quand une réaction ?
C’est Pierre Hillard qui a, le premier, attiré l’attention sur ces statistiques.
un véritable ethnocide donc un crime contre l’humanité voulu par une minorité et dont les politicards sont les maitres d’oeuvre depuis des décennies avec la complicité passive de ceux et celles qui les ont élu.
l’Ignorance Invincible n’existe pas. Les gens votent pour ca. Il vont manger dans leurs restaurants, ils achètent leurs CDs, regardent leurs films et ne se renseignent pas sur la religion de leurs ancêtres. Ils envoient leurs enfants dans des écoles de République. Il ne plus possible dans l’âge d’Internet de dire qu’on ne savait pas.
Bonjour,
Etant moi-même né en Ile-de-France, d’origine partiellement antillaise, je m’intéresse à ces chiffres depuis pas mal d’années.
Ce qui est intéressant, en plus du chiffre annuel des naissances, c’est le cumul des chiffres depuis la mise en place du dépistage par région qui nous permet ainsi d’évaluer le pourcentage de personnes d’origine non européennes par « classe d’âge ».
Ainsi, par exemple, en Ile-de France, le Bilan AFDPHE 2016 nous indique en page 90 que, entre 1996 et 2016, exactement 2 079 998 nouveaux-nés ont été ciblés (donc dont les parents sont issus de pays à risque pour la drépanocytose, essentiellement Afrique, Maghreb et Antilles). Si on ramène ce chiffre de personnes ciblés sur la période au nombre de naissances total de la période 1996-2016 (donnés par l’Insee), soit 3 696 950, on obtient un pourcentage de 2 079 998/3 696 950 = 56,3 % personnes ciblés car issues de familles originaires de pays à risque (Afrique, Maghreb, Antilles, Moyen-Orient etc).
Ainsi, on peut affirmer que, au moins 56,3 % des jeunes nés en Ile-de-France entre 1996 et 2016, soit les jeunes agés de 0 à 20 ans au 1er janvier 2017, sont d’origine non européenne.
« Au moins », car il faudrait bien entendu ajouter à ce chiffre les jeunes nés hors de l’Europe et résidant en Ile-de-France et qui ne figurent pas dans ces naissances en métropole, mais cela donne déjà un un ordre de grandeur.
Et si on fait le même calcul pour la région PACA+Corse, le bilan 2016 de l’AFDPHE nous indique en page 97 que 499 959 naissances ont été ciblées sur la période 1995-2016 sur un total de 1 306 597 naissances, soir 499 959/1 306 597=38,3 %.
Ainsi, on peut affirmer également que, au moins 38,3 % des jeunes nés en PACA+Corse entre 1995 et 2016, soit les jeunes agés de 0 à 21 ans au 1er janvier 2017, sont d’origine non européenne.