Jérémie, un jeune homme de 22 ans, est mort dimanche après avoir été poignardé vendredi à Marseille.
Egorgé, dans la rue, dans le centre-ville, alors qu’il se rendait chez un camarade.
Ce jeune homme originaire des Vosges a été vraisemblablement tué par un individu de 41 ans, rapidement présenté comme « déséquilibré ».
Tiens, voilà un mot qui n’est pas anodin : on sait qu’il est de plus en plus employé dans la novlangue du Système pour désigner un immigré tuant un Français, sans motif clair (et sans bien sûr qu’il soit possible d’évoquer la simple haine raciale envers les Français)…
Les médias sont avares d’informations sur l’identité du tueur. L’express, qui s’étale sur l’affaire, concède que l’homme est « né dans la Drôme ».
Tout cela sent la diversion et en cherchant bien, on découvre enfin que l’assassin se prénomme Ali.
La victime n’avait plus son téléphone portable quand elle a été secourue en vain, mais on a retrouvé trace de celui-ci dans les « quartiers nord », zone à majorité afro-maghrébine.
Bien sûr, nous ne nions pas que « Ali » puisse être mentalement déséquilibré (qui égorge les gens sans l’être ? Question à 1000 francs…)
Mais il est un fait que ces « déséquilibrés » qui sévissent de plus en plus, chaque année, en massacrant dans la rue, en égorgeant, en poussant sur les rails du métro, sont rarement français contrairement à leurs victimes, et donc que leur folie reste orientée par des critères ethniques.
Dans un communiqué, Manuel Valls a demandé à l’ensemble des responsables publics « d’éviter les surenchères et les polémiques déplacées » sur la sécurité dans la cité phocéenne.
Bien sûr, là, surtout pas d’amalgames ! Ce n’est pas le genre de la maison (voir l’affaire Méric et ses conséquences) !
Et il ne faudrait pas non plus que les gens pensent que Marseille devient un vaste coupe-gorge, symbole de l’échec cinglant et inéluctable du « multiculturalisme », où chacun Français risque, en se déplaçant, d’être mortellement attaqué sans qu’il ne comprenne ce qui lui arrive.