La police antiterroriste grecque a arrêté ce samedi le dirigeant du parti Aube dorée, Nikos Michaloliakos.
Le député et porte-parole du parti Ilias Kassidiairis et aux moins dix autres membres du parti, accusé pour le coup d’être «une organisation criminelle», ont été également arrêtés, selon une source policière.
Des mandats d’arrêt concernant 30 autres personnes ont été lancés à travers le pays par la Cour suprême grecque.
Celle-ci prétexte d’une enquête sur la mort d’un antifa grec. La ressemblance avec les manipulations politiques françaises est patente.
Le 18 septembre en effet, un activiste d’extrême-gauche, Pavlos Fyssas, trouvait la mort lors d’un affrontement que des groupes gauchistes avaient déclenchés contre des patriotes. L’individu avait participé à l’attaque d’un bar où des Grecs regardaient un match de football et, en agressant quelqu’un, avait reçu un coup de couteau fatal de la part d’un homme voulant défendre sa vie.
Évidemment, les médias occidentaux ont présenté cela d’une toute autre manière, évoquant les hordes nazies grecques attaquant des innocents…
Depuis la mort de cet extrémiste belliqueux, les autorités ont lancé une vaste « enquête » sur le parti nationaliste accusé de violences contre des envahisseurs clandestins et des extrémistes de gauche.
«La démocratie a les moyens de se défendre» (à défaut d’aider le peuple), a indiqué le porte-parole du gouvernement, Simos Kédikoglou, à la télévision Skaï, quelques minutes après l’arrestation de ces députés…