Une première en Europe.
« La Hongrie dirigée par Viktor Orban a formellement fait entrer dans la constitution hongroise l’interdiction de l’altération du substrat racial du peuple via l’immigration de remplacement.
Russia Today :
Le Parlement hongrois, à l’initiative du Premier ministre souverainiste et conservateur Viktor Orban, a approuvé le 20 juin un ensemble législatif officiellement appelé «Stop Soros», qui condamne l’assistance aux migrants illégaux. Ces nouvelles lois défient à la fois la politique de l’Union européenne et les groupes de défense des droits humains. Elles ont aussi pour but de rétrécir le champ d’action des ONG. Leur nom fait référence à la bête noire du gouvernement hongrois, le milliardaire américain d’origine hongroise George Soros, connu pour financer plusieurs organisations.
Le Parlement a aussi fait voter un amendement dans la Constitution établissant qu’aucune instance ne pouvait porter atteinte à «la composition de la population» hongroise. Cette disposition vise à rendre anticonstitutionnels les quotas de migrants souhaités par l’Union européenne.
De facto, la constitution gèle, au plan étatique, la définition de la nation hongroise comme un ensemble biologiquement cohérent et non pas comme une masse indifférenciée, à la différence du contractualisme cosmopolite français en place.
Cette mesure constitue une victoire sans précédent pour l’ethno-nationalisme – seule définition cohérente du nationalisme – en Europe. Elle indique aussi un puissant changement de dynamique : la communauté du peuple, sur une base ethno-culturelle, prévaut sur l’anarchisme anti-social que promeuvent les ploutocraties occidentales.
Il ne faut pas s’y tromper : Viktor Orban et, avec lui, la nation hongroise amorcent un véritable tournant révolutionnaire qui ne manquera pas d’entraîner d’autres peuples européens à sa suite. De la même façon qu’elle fut motrice lors de la catastrophe migratoire de 2015, cette initiative hongroise va changer la donne en termes idéologiques et stratégiques. »
Lu chez Boris Le Lay
un homme qui s ‘oppose à la politique de la Révolution maçonnique
va être traqué comme bête immonde fasciste à exterminer ;
tous les BHL, les Attali , le Crif, la Licra…. se préparent pour la chasse.
La France ne risque rien si elle devient un département Hongrois.
Nous sommes Hongrois.
Et en confirmation, les quatre nations du VISGRAD ont prévu de boycotter la petite sauterie immigrationniste Junker-Merkel-Macron. En outre, le ministre de l’intérieur allemand Horst SEEHOFER commence à en avoir ras la casquette des migrants à la Groß Bertha. Ça bouge partout et dans le bon sens. Tant mieux…
« Interdiction de l’altération du substrat racial du peuple via l’immigration de remplacement » Quelle jolie formulation !… Et aussi un grand bravo à la Hongrie, au groupe de Visegrad , et à bien d’autres pays européens courageux, eux… Nous n’avons pas les mêmes « élites », c’est un fait !
Que Micron aille prendre des leçons de civisme en Hongrie et qu’il rompe avec la traitresse teutonne qui a vendu son pays aux envahisseurs.
Il ne faut pas donné aide aux etrangres meme avec leurs cartes d’identité se sont des destructeurs un pays comme la France il faut les chassers hord du pays plus allocs plus de pôle emploi plus aides aux Roumanos cest des voleurs de points affaires mis à disposition pour les plus démunis il faut faire le contraire de macron plus de téléphonie Caraïbes salutatuons