C’est emblématique.
Après avoir refusé l’asile politique à l’américain Snowden qui a révélé le scandale de l’espionnage massif des USA envers leurs alliés, Hollande et sa clique ont annoncé l’avoir accordé à l’Ukrainienne qui mène (visiblement, car on ne parle pas des milliardaires masculins qui emploient ces « féministes ») les Femen.
Le groupe extrémiste l’annonce fièrement sur son compte facebook en ces termes :
« L’idéologue et la coupeuse de croix Inna Shevchenko, poursuivie par les autorités ukrainiennes et russe, a reçu des documents qui lui accordent l’asile politique de la République française.
Le 17 août 2012, le jour du procès de Pussy Riot, Inna Shevchenko a tronçonné une croix commémorative sur la Place de l’Indépendance en signe de solidarité avec les accusés et contre les prétentions théocratiques du ROC [acronyme désignant l’Eglise orthodoxe russe, NDCI] . L’action a déclenché un certain nombre d’actes similaires à travers toute la Russie, et est entrée dans l’histoire de l’athéisme féministe et militant. »
Inna Schevchenko en action
Il est vraisemblable que nos gouvernants, animés par la haine de l’ordre naturel et de la religion catholique, agissent par sympathie pour le combat infernal des Femen, en particulier sous son aspect antichrétien.
Les Femen jouissent déjà d’une étonnante impunité en France, étant protégées par la police durant leurs actions illégales et n’étant jamais poursuivies en dépit de leurs multiples violations de la loi. Alors que, parallèlement, une répression policière et judiciaire sans précédent s’est abattue sur les gens normaux.