Très bon commentaire vu sur le site du Renouveau français :
« Pour la « Journée de la femme », des féministes ont produit une brève vidéo dénonçant les mariages forcés de fillettes.
Pourquoi pas.
Mais dans notre pays, ce phénomène ne concerne pas les Français, contrairement à une partie de la population immigrée.
Dans le monde, il est quasi-uniquement le fait de non-catholiques et de non-Blancs.
Or dans ce clip au contenu indigent (où la mère de famille est interprétée par Julie Gayet, la nouvelle première maîtresse de François Hollande, qui apparaît pour une fois habillée), on ne voit que des Blancs !
Les quotas ethniques en usage aujourd’hui devant la caméra ne doivent-ils être employés que pour montrer les étrangers sous un jour aimable ?
Il est ici présenté une famille française bourgeoise et catholique (avec une grande image du Christ dans son appartement, mais qui célèbre le mariage à la mairie : pas très crédible) qui livre une fillette à un vieil homme.
Un tel décalage (cette inversion même) par rapport à la réalité constitue une odieuse offense aux Français, qui sont encore une fois stigmatisés pour des comportements dont ils ne sont nullement coupables, si ce n’est d’avoir laissé entrer chez eux quinze millions d’immigrés.
Qui est la cible de ce court-métrage surréaliste ? Qui veut-on convaincre ?
Il faut rappeler que l’Occident fut pionnier dans le domaine de la liberté du mariage, l’Eglise ayant imposé la nécessité du consentement des époux pour qu’un mariage soit valide.
On notera aussi l’incohérence de ces donneurs de leçons de l’oligarchie politico-médiatique qui affirment (comme en fin du clip) que « les petites filles ne sont pas des femmes », alors que notre société de vulgarité et de pornographie s’évertue à tuer l’innocence des jeunes et à vêtir (ou plutôt « dévêtir ») les fillettes comme des femmes, en sexualisant leur apparence et leur comportement dès le plus jeune âge.
Stéphane Jarret »