Souvenez-vous : il y a quelques jours à Toulouse, les « antifas » (extrême-gauche violente) interrompaient brutalement une traditionnelle « crèche vivante » (avec des acteurs), n’hésitant pas à traumatiser les enfants présents comme spectateurs ou participant à cette scène universellement touchante.
Une cinquantaine de nervis antifa-féministo-LGBTPHV (Lesbiennes-Gay-Bi-Trans-Petits Hommes Verts) dont des membres clairement identifiés d’Act Up et de l’Union Antifasciste Toulousaine, avaient sifflé les choristes, scandé des chansons blasphématoires et insulté des participants avant d’en arriver aux mains avec certains, arguant « que cet événement était illégal dans un État laïc ».
La crèche vivante a donc du être écourtée de plus d’une heure, empêchant trois groupes de choristes de se présenter sur scène et les enfants de poser dans la crèche. Outrés, les participants ont été contraint de quitter la place, parfois avec les pleurs effrayés des enfants.
On notera en plus de l’impunité habituelle dont jouit l’extrême-gauche à Toulouse comme ailleurs, le lamentable communiqué « d’indignation » de Mgr Le Gall, archevêque de Toulouse, qui par un travestissement du message du Christ se trouve des points de convergences avec les agresseurs de la crèche tel que « l’accueil des étrangers ».
Source : Infos-Toulouse.fr