Reçu à la télévision chez Thierry Ardisson et interrogé sur les prochaines élections européennes, il annonce franchement le but de son camp :
« Transférer une grande partie de la souveraineté nationale au niveau européen, c’est le cœur de ce que l’on va proposer aux élections européennes».
Honteux, mais il a le mérite de la franchise.
Par ailleurs, il finit par cracher vulgairement sa conception de la nationalité : « C’est quoi le peuple français ? »
Ces gens ne savent pas ce qu’est le peuple français, pourtant ils le dirigent.
Il est logique qu’ils ne comprennent pas l’expression « grand remplacement ».