Il n’y a pas que le « Grand Remplacement », il y a aussi – même si c’est moins grave (car réparable) – le remplacement de l’esprit, de la culture française (et celle de ses provinces) par autre chose.
Le choix des prénoms est très révélateur de l’état d’une population, de ses références, de la permanence ou non de son identité…
Entre les prénoms anglais, les abréviations d’autres prénoms (Théo, Léo…) et les créations pures et simples, c’est une transmission, une filiation, une mémoire qui s’interrompt dans de nombreuses familles.
Évidemment les Français non reniés auront à cœur de choisir pour leurs enfants un prénom français (donc chrétien) : le choix ne manque pas, surtout si l’on fouille un peu et loin dans le temps.