« C’est un homme au visage grêlé par la petite vérole, à l’air fatigué par la Terreur qu’il avait fait régner dans un pays débarrassé de son roi.
Le vrai visage du révolutionnaire Maximilien de Robespierre (1758-1794) nous apparaît, avec un réalisme surprenant, grâce au talent du Mulhousien Philippe Froesch. Spécialiste mondial de la reconstitution faciale, installé aujourd’hui à Barcelone, cet Alsacien de 49 ans » s’est basé notamment sur un masque mortuaire réalisé à l’époque par la future madame Tussaud.
L’adage discuté « le visage est le reflet de l’âme » nous vient logiquement à l’esprit !