Le président de leur République Emmanuel Macron était en tournée de spectacle dans la Drôme aujourd’hui.
Il est allé à un moment vers les benêts venus l’applaudir et a commencé à serrer des mains (car les « gestes barrières », c’est pour les gueux).
Sauf qu’il y avait un mouton rebelle dans la foule : après avoir lancé au sbire de Rothschild un stylé « Montjoie-Saint Denis ! A bas la Macronie ! », un jeune Français a souffleté Macron.
Entendons-nous : une petite gifle, surtout symbolique ; pas une baffe de cow-boy à la Bud Spencer.
Or, souvenez-vous ce qu’avait dit le président-banquier, au début de la grande mobilisation populaire des Gilets jaunes ?
Face au peuple en détresse et révolté, qui recevait d’abondants coups de matraque et tirs de flashball, il avait lamentablement répondu « qu’ils viennent me chercher ! »
Et maintenant, ça pleurniche…
Nous ne saurions engager les Français à en faire de même, ce serait illégal.
Mais avouons que Macron n’a pas trop à se plaindre. S’il lui était appliqué ne serait-ce que le commencement des méthodes républicaines, il aurait du souci à se faire.
Mais la caste politico-médiatique s’excite.
Le Figaro écrit carrément : « Le scénario du pire, tant redouté par la protection rapprochée de l’Élysée, s’est donc produit mardi dans la Drome. »
C’est cela, le scénario du pire ?! Grotesque.
Macron, plus tard dans la journée, a réagit en évoquant « des faits isolés » « d’individus ultraviolents ».
« Ultraviolents » ?! Les mots ne veulent plus rien dire pour la gauche (au sens large).
Quelques heures plus tôt, Macron déclarait : « Dans la démocratie, des oppositions peuvent s’exprimer librement : dans la rue, dans la presse, à la télévision… Et elle s’exprime à échéances régulières dans les urnes. La contrepartie de cela, c’est la fin de la violence et de la haine. Si la haine et la violence reviennent, elles fragilisent une seule chose, c’est la démocratie».
Et Castex de déclarer « la démocratie en danger », celle-ci ne consistant en aucun recours à « la violence », etc.
Quels tartuffes !
En France, tous les jours de bons Français sont persécutés, traqués par la police et traînés devant les tribunaux pour de simples propos pas assez politiquement corrects, tandis que la racaille s’en donne à cœur joie !
Certains patriotes ou historiens dissidents sont condamnés à de la prison ferme pour de simples écrits ! Sans parler de la scandaleuse affaire Méric ou de braves jeunes gens sont jetés en prison contre toute justice.
N’est-ce pas là de la violence ?
Ce régime n’a aucune leçon à donner en matière de violence (il en est né et re-né ; les républicains, eux, assassinent carrément les rois) : en particulier après l’épisode des Gilets jaunes et ses jeunes filles patriotes de 20 ans éborgnées.
Bref, l’émoi politico-républicain, relevant de la société du spectacle, est particulièrement déplacé et pénible à voir.
Quand la France sera libérée et la justice restaurée, Macron devra répondre de ses trahisons multiples envers la nation et aura plus à craindre, au tribunal, qu’un soufflet.
PS : les droitards diront que ce n’est pas bien et qu’il faut sévèrement réprimer ces jeunes car ils ne respectent pas la fonction, même si l’homme Macron est contestable.
Evidemment, ils n’ont rien compris au problème de fond, qui est celui du régime. Macron, traître à la France, ne mérite aucun respect ; quant à la fonction présidentielle, si jamais elle avait été respectable, Macron a achevé de la décrédibiliser et de la ridiculiser. Accessoirement, la France est en train de disparaître par l’action de ces gens.