A noter : la République menace certaines familles catholiques de retirer l’autorité parentale pour des broutilles. Il faudra suivre l’affaire pour vérifier qu’une enquête est bien diligentée contre cette famille admirative du terroriste.
Nice compte depuis début novembre un nouvel habitant, un petit garçon prénommé « Mohamed, Nizar Merah ».
Un choix de prénom très peu apprécié des édiles, pour qui la référence à l’auteur des actes terroristes survenus à Toulouse et Montauban en 2012 est particulièrement malvenue et « susceptible d’être contraire à l’intérêt » de l’enfant.
La ville de Nice a ainsi décidé de saisir le procureur, afin « qu’il prenne les mesures adéquates pour faire modifier cet acte de naissance dont le contenu porte atteinte à notre République. »