Pour télécharger le programme de cette conférence d’allogènes haineux et non-reconnaissant, c’est ici. A noter que Amal Bentounsi, l’intervenante chargée d’expliquer que la France est un État raciste et policier (si seulement!), est la sœur d’une petite frappe abattu par un policier après avoir sorti un pistolet et lancé une grenade factice.
Trouvé sur Valeurs Actuelles : Du vendredi 4 au dimanche 6 mai, la conférence internationale « Bandung du Nord » pour une « internationale décoloniale » se tiendra à la Bourse du travail de Saint-Denis.
La référence est revendiquée. Lors de la conférence de Bandung de 1955, les représentants de 29 pays africains et asiatiques s’étaient retrouvés pour la première fois dans cette ville d’Indonésie pour marquer leur entrée sur la scène internationale en tant que pays du tiers-monde décolonisés, ainsi que pour affirmer haut et fort leur non-alignement envers les deux grands blocs – l’URSS et les Etats-Unis. En 2018, c’est un évènement d’un autre genre qui se tiendra à Saint-Denis entre le 4 et le 6 mai : la «première conférence internationale de personnes de couleur prenant à bras le corps les questions concernant les non-blancs vivant dans le nord global».
Le postulat de départ des organisateurs: environ 160 millions de «non-blancs» vivent dans les pays du «Nord global». Selon eux, ces personnes «font l’expérience du racisme dans toutes les sphères de la vie, tel un rappel constant de la continuité de l’héritage colonial». Ce racisme se manifesterait «dans le système politique qui prive les non-blancs de parole et impose un récit dominant sur le terrorisme qui facilite la montée d’un État policier et cible les personnes non blanches». Ainsi, l’objectif affiché de cette conférence est de défendre une «Internationale Décoloniale qui scellerait une alliance politique entre les mouvements décoloniaux d’Occident».
Au programme de ces journées, des conférences et des débats aux intitulés douteux. Florilège : «Combattre l’Etat policier et le racisme d’Etat à l’échelle des pays du Nord», «Quelles alliances avec la gauche blanche», ou encore «Racismes intra-communautaires ou comment les combattre et construire une alliance stratégique entre les communautés ?» Cette idéologie mortifère est toujours la même : sous couvert d’antiracisme, on inculque une vision racialiste de la société en prônant une solidarité entre les communautés non-blanches afin de lutter contre les oppresseurs blancs.
Parmi la longue liste des intervenants, on retrouve toute la clique française habituelle. Le Collectif contre l’islamophobie en France ; Rokhaya Diallo, une militante antiraciste connue pour avoir défendu les camps d’été interdits aux blancs ; Houria Bouteldja, porte-parole du Parti des indigènes de la République qui accuse régulièrement la France de racisme d’Etat envers les descendants des populations colonisés. Autre invité de marque : Nordine Saidi, un membre du parti Islam en Belgique (mouvement dont l’objectif est d’instaurer la charia dans son pays), qui avait refusé en 2009 de condamner les attentats terroristes.
Pour eles non blancs , les autres, il y a l’Afrique, qu’ils y aillent et qu’on en entende plus jamais parler.