« L’enseignement de l’arabe était abandonné […] depuis des années, nous allons mettre les moyens nécessaires » à son renforcement, a déclaré à l’AFP le ministre de l’Education, le très maçonnique Vincent Peillon.
Cette orientation « est culturelle, mais elle est aussi, et ça chacun doit le comprendre, l’avenir de l’Europe et l’avenir de la France », a-t-il ajouté.
Comme ça, les choses sont claires !
Et tant pis si la plupart des jeunes Français ne savent plus aujourd’hui écrire leur propre langue !