Jeudi 8 février, devant la Cour d’appel de Paris, le professeur Robert Faurisson faisait appel d’une décision de justice datant de juin 2017, qui reconnaissait à la journaliste du « Monde » Ariane Chemin le droit de le traiter de « menteur professionnel », de « faussaire » et de « falsificateur de l’histoire » (« à l’appui de ces trois accusations, aucun exemple n’était produit ni aucune preuve » proteste le professeur Faurisson).
« L’audience d’appel était présidée par Catherine Bézio, qui semble-t-il découvrait les chausse-trappes du dossier. C’est ainsi que, s’adressant à Ariane Chemin, Mme Bézio eut cette question : « Sur quoi vous fondez-vous pour dire qu’il est un menteur ? » Consternation dans les rangs de la cour. « J’assume absolument ce que j’ai écrit, a alors martelé la journaliste, je suis de la génération Gayssot, et pour moi, il est évident que nier l’existence des chambres à gaz est un délit. Dire que M. Faurisson est un menteur professionnel, c’est une évidence. », fin de citation. Un argument tautologomorphe que Mme Chemin a cru prudent de doubler de lourds sanglots.
« C’est si mystérieux, le pays des larmes » disait poétiquement Antoine de Saint-Exupéry. Décision le 12 avril. »
Source Bulletin de réinformation de Radio Courtoisie
PS : déjà, en première instance, Ariane Chemin avait pleuré…