Il y a 500 ans un moine allemand tourmenté, Luther, se révoltait contre l’Église et créait sa propre religion (le protestantisme) : c’était la fin de la Chrétienté. Une immense déchirure eut lieu en Europe, avec des guerres terribles (déclenchées en France par des années de saccages et de meurtres par des protestants), sans parler des conséquences spirituelles sur des dizaines de millions d’âmes.
Saviez-vous par exemple qu’il y eut plus d’églises détruites en 1562 que pendant la Révolution française ?
Pour comprendre cet épisode historique d’une importance extrême, nous vous conseillons quelques lectures de qualité :
► Les numéros 99 et 100 de la revue dominicaine le Sel de la Terre, qui proposent de nombreux et profonds articles sur le protestantisme, tels que :
♦ Synthèse historique du protestantisme ♦ 1517-1617 : un siècle du Lutherrorisme ♦ Les origines philosophiques du protestantisme ♦ Le coeur de l’hérésie luthérienne : la doctrine de la justification ♦ De la messe de Luther à la messe de Paul VI ♦ L’infiltration du protestantisme dans l’Église conciliaire ♦ Le concile de Trente ♦ l’influence du protestantisme sur la philosophie et la théologie modernes ♦ Protestantisme et démocratie moderne ♦ Protestantisme et capitalisme ♦ Méfaits commis par les protestants dans la ville de Tours ♦ Bossuet champion de la foi ♦ Mgr Jacques-Bénigne Bossuet : exposition de la doctrine de l’Eglise catholique ♦ Le témoignage des convertis, etc.
On peut se procurer le n°99 ici et le n°100 ici.
► Le Protestantisme assassin, de Michel Defaye, petite brochure qui remet les choses à l’endroit alors que les Catholiques sont, dans les médias et les manuels scolaires, présentés comme les coupables et agresseurs. Il y a aussi un intéressant CD (mp3) de cet auteur, intitulé Les Guerres de religion en France.
► le livre d’Alain Pascal, auteur dont nous parlons régulièrement ici : La Réforme, cette révolution, que l’on peut se procurer ici.
Il s’agit là d’un ouvrage volumineux (624 pages), magistral, qui étudie les ressorts secrets de l’avènement du protestantisme. Il comporte un index des noms, un index des mots-clefs, une solide bibliographie et une table des matières détaillée (sur 10 pages).
Voici sa quatrième de couverture :
« La Réforme de Luther, une vraie réforme ? Non, une révolution qui est la conséquence de la Renaissance et donc un produit de la gnose et de la Kabbale. La Renaissance étant une imposture, sa fille, la Réforme, est une régression religieuse, mais aussi une révolution politique.
Car, au-delà d’un bouleversement du dogme de l’Église et des Sacrements, Luther est responsable du premier nationalisme révolutionnaire, le nationalisme allemand qui s’attaque à l’Empire de Charles Quint. En inscrivant la Réforme dans la suite de la Kabbale, Alain Pascal ouvre une brèche sur le politiquement correct concernant le nationalisme allemand, mais aussi sur le religieusement correct car il décrit le protestantisme dans la suite de l’islam comme un nouvel instrument des initiés orientaux contre l’Occident chrétien. C’est évidemment l’histoire secrète du XVIe siècle qui est contée, l’initiation des principaux Humanistes et « réformateurs » à l’« illumination » kabbalistique, véritable raison de leur complicité dans la Guerre des gnoses contre la tradition chrétienne. L’auteur dénonce leur attaque commune contre l’Église et énumère les crimes commis par les protestants sur les catholiques pendant tout le siècle, en procédant à une véritable révision de l’histoire des guerres de Religion, qu’il ne limite pas à la France puisqu’elles commencent en Allemagne avec la Réforme de 1520. Ce volume est le quatrième et dernier tome de la Guerre des gnoses. Pour Alain Pascal, le XVIe siècle est le Siècle de la Folie parce que les Humanistes et les protestants sont les héritiers d’Érasme, dont L’Éloge de la Folie provoque le déchaînement de l’irrationnel au XVIe siècle, ce qui prélude l’imposture rationaliste de la philosophie moderne que l’auteur dénonce depuis La Trahison des Initiés. Le Siècle de la Folie est un trait d’union entre les temps anciens et aujourd’hui, un relais essentiel entre le gnosticisme, la Kabbale et la “Révolution des Illuminés”, et donc in fine la dictature mondialiste contemporaine. »