Audrey Pulvar est un personnage emblématique de la caste qui dirige et pourrit la France : « journaliste », présentatrice d’un journal télévisé pour la télévision publique pendant plusieurs années, « chroniqueuse », « militante » (plus exactement élue) politique, responsable d’une organisation « écologiste » (tout en arborant des lunettes en écailles de tortue à 15 000 euros), ce compère d’Anne Hidalgo incarne bien l’idéologie de gauche au pouvoir.
Elle remercie la France – à qui elle doit tout –, par une lutte acharnée contre elle, contre son identité, contre la morale.
Elle vient de faire parler d’elle à nouveau, alors qu’elle était interrogée sur le racisme antiblanc de l’UNEF. Mal à l’aise, elle a déclaré : « Si vient à cet atelier une femme blanche, un homme blanc, etc., j’aurais tendance à dire qu’il n’est pas question de le jeter dehors. En revanche, on peut lui demander de se taire, lui demander d’être spectateur silencieux. »
Un cadre de LR (anciennement UMP et RPR) s’émeut et parle de… République.
Commentaire de Jonathan Sturel :
La République, c’est précisément ce qui n’empêche pas le racisme anti-blanc de se propager depuis des années, c’est précisément ce au nom de quoi ils ont instauré l’antiracisme des années 80 qui a dérivé en haine contre les Blancs. C’est derrière la République que se planquent tous ces gens, ce sont ses «valeurs» qu’ils invoquent à longueur d’années pour justifier l’immigration massive, l’islamo-gauchisme, l’accueil des migrants, les réunions anti-blancs, etc.