David Berger, 42 ans, un professeur de lycée et spécialiste de Saint Thomas d’Aquin, a fait son coming-out en avril dernier, contraint par la rumeur internet. Sa page Facebook était très explicite.
Par ailleurs, il accuse l’Eglise catholique d’avoir une position hypocrite et bigote sur l’homosexualité, et se plaint d’une croissance des tendances homophobes au sein du catholicisme.
Mgr Luis Clavell, Président de l’Académie et membre de l’Opus Dei a révoqué de sa mission le professeur sodomite.
Je n’ose même pas imaginer la violence de la réaction de Thomas d’Aquin si, de son vivant, il avait appris qu’un de ses ci-devant disciples s’était publiquement déclaré homosexuel !!!
Et de surcroit ce « disciple » se permet de juger l’Eglise en matière de morale.
C’est pas parce qu’on est spécialiste en quelqu’un qu’on est son disciple. Sinon on en aurait des disciples d’Hitler et consort …
Faut choisir entre intégrisme et scandales pédophiles hein…
On a connu des cas d’ hérétiques calvinistes et luthériens qui se sont introduits dans l’ Église catholique pour mieux tenter de la détruire…..
Ca me semble être le cas de ce triste sire.
Au bûcher le salaud.
Au bûcher le salaud! J’ai dû lire par deux fois pour y croire.
Comme esprit évangélique on repassera. Le simple respect n’y est pas.
L’Église ne se réduit pas au Vatican. Mais ce chapeau de l’institution Église a mis la main sur elle comme sur Dieu. Ils sont propriétaires de la marque et veulent s’en assurer l’exclusivité. Le Vatican est de plus en plus intégriste et légaliste. Il n’a plus grand chose à voir avec l’Évangile de Jésus mais plutôt avec le style de gestion administrative tatillone du Temple de Jérusalem par le Sanhédrin. Les colères de Jésus ont visé ces personnages hautaine et méprisants pour le peuple. Ce ne sera pas la première fois que cette institution prend le champ sur des questions sociales importantes comme la place de la femme et son droit de vote, la démocratie, le syndicalisme, les droits humains, etc. Jugez de tout par vous même a dit Jésus lui-même (Lc 12, 57).