« Le Conseil d’Etat a dit qu’il [Vincent Lambert] devait mourir parce que on a prétendu que tels auraient été ses souhaits antérieurs exprimés auprès de sa femme de manière verbale ; alors que, comme je l’ai souligné, sa femme en a parlé pour la première fois au bout de cinq ans simplement pour justifier la décision du docteur Kariger et qu’elle s’est contredite de manière spectaculaire à huit mois d’intervalle sur le contenu de ces prétendus souhaits. »
Des éléments décisifs.