Dépénalisation du cannabis : tous les médias en parlent aujourd’hui, et la droite en profite pour attaquer la majorité, alors qu’elle est largement responsable de la situation déplorable que nous connaissons.
Concernant la fable du cannabis « drogue douce », voir ici ; pour les dommages au cerveau, voir ici.
Ci-dessous l’excellente réaction du directeur du Renouveau français :
« Cannabis : la gauche veut nous enfumer
Le ministre de l’Education dite « nationale », le franc-maçon fanatique Vincent Peillon [voir ici, NDCI], entend « lancer le débat » concernant la légalisation du cannabis.
Bien que Matignon ait par la suite démenti qu’il y aurait dépénalisation, il est patent que nous avons là un nouveau « ballon d’essai » lancé par la Gauche.
Lorsque celle-ci entonne ce genre de refrain, on sait ce que cela signifie : dans quelques mois ou quelques années, les projets qu’actuellement elle n’ose énoncer clairement seront proposés, puis inscrits dans la loi. Et ensuite, en revanche, il ne sera bien sûr plus question d’évoquer un quelconque débat : on le voit aujourd’hui avec des questions comme celles de l’avortement volontaire, de la peine de mort, etc.
L’idée de la libéralisation du cannabis appelle une réaction ferme et radicale des patriotes, car le sujet n’est pas si anodin qu’on pourrait parfois le croire.
Le fait est que le cannabis est et restera une drogue nocive : addictive, endommageant le cerveau, développant les troubles mentaux, marchepied vers l’usage de drogues encore plus dangereuses.
Un État soucieux du bien commun, à l’inverse de notre République donc, ne saurait laisser la jeunesse à la merci d’un tel fléau.
Mise de côté la question marginale d’une utilisation thérapeutique, envisageable sous contrôle strict de l’État, tous les prétextes avancés par la Gauche restent « fumeux » ; à commencer par l’amour d’une liberté individuelle mal comprise qui ne mène en réalité qu’à l’asservissement.
On peut supposer que l’idée d’assécher les trafics en banlieue n’est qu’une mauvaise excuse pour tenter de récupérer à son profit une économie souterraine : la rente dont pourrait bénéficier la République en taxant le cannabis, comme elle le fait déjà sans vergogne pour la cigarette, doit faire rêver des socialistes toujours en quête d’argent à dilapider.
Mais il est prévisible que si l’État tarit cette source de revenus dans les banlieues immigrées, sans traiter le problème de celles-ci à la racine, les trafiquants se rabattront sur d’autres produits, probablement pires, qu’ils tacheront d’écouler en créant le besoin chez les personnes qu’ils démarcheront.
Il reste vrai que la situation actuelle n’est nullement satisfaisante.
Mais devant le constat d’une très large consommation de cette drogue (la France est championne d’Europe en ce domaine, avec 24% de ses 15-16 ans qui ont fumé du cannabis au cours du dernier mois), il faut prendre le problème à la source en éliminant d’une part le trafic de cannabis par une répression plus efficace des trafiquants, et d’autre part traiter la question des banlieues par la seule solution véritable : rapatrier leurs habitants.
Il convient de ne pas s’adapter cyniquement à une situation que l’on a laissée pourrir, comme le font nos gouvernants en espérant des gains faciles sur le dos d’une jeunesse qu’ils souhaitent voir toujours plus avachie, toujours plus abrutie, toujours moins apte à une révolte que pourtant tout légitime.
La triste réalité du monde moderne, que beaucoup de jeunes cherchent à fuir, peut être modifiée, réellement. Pour cela, il faut justement que cette jeunesse se lève, animée d’un idéal enthousiasmant comme celui que nous lui proposons.
Thibaut de Chassey »