Mis en cause dans une nouvelle affaire de soirée privée, le chef de gouvernement italien a tenté de se justifier par une de ses boutades habituelles.
Silvio Berlusconi a pris l’habitude de répondre aux scandales par des pirouettes. Et cette fois, ce sont les homos qui servent de repoussoir au chef de gouvernement italien. Mis à mal par une nouvelle affaire de soirée privée avec des jeunes femmes rémunérées, il a tenté ce matin de s’en justifier: «Je travaille depuis toujours à un rythme infernal et s’il m’arrive de temps en temps de regarder les belles femmes… eh bien il vaut mieux avoir la passion des belles femmes qu’être gay», a-t-il déclaré en inaugurant le salon de la moto dans la banlieue de Milan.