Édouard Philippe a annoncé mardi que l’ensemble des « vaccins pour la petite enfance » aujourd’hui seulement « recommandés » par les autorités de santé, deviendraient obligatoires dès l’an prochain. Pour l’instant il n’y avait « que » ceux contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite. Il y aurait donc en plus coqueluche, rougeole, oreillons, rubéole, hépatite B, bactérie Haemophilus influenzae, pneumocoque et méningocoque C.
Au delà de la victoire financière éclatante que remporte l’industrie pharmaceutique, c’est une nouvelle scandaleuse et particulièrement inquiétante pour… la santé des enfants, alors qu’il est de plus en notoire que les vaccinations ont parfois de terribles effets secondaires. Surtout quand ils sont faits sur les nouveaux-nés, surtout quand ils sont faits à n’importe quel moment (le bébé ayant été un peu malade peu avant), et que les adjuvants n’ont pas fait l’objet d’études médicales sérieuses.
Par ailleurs le Premier ministre explique que « des maladies que l’on croyait éradiquées se développent à nouveau sur notre territoire », sans bien sûr oser dire qu’il y a pour certaines d’entre elles un lien avec l’immigration massive.
Les Français devront payer l’addition, au sens propre mais aussi avec une explosion du nombre d’enfants souffrant de séquelles physiques, notamment neurologiques.