Revenons sur l’ahurissante condamnation qui a frappé une ex-candidate FN ayant simplement repris (comme des milliers de gens) une image humoristique sur sa page facebook. C’est une étape grave dans la répression que la République totalitaire entend exercer contre les patriotes, sous couvert « d’antiracisme », qui n’est – rappelons-le – qu’un nom de code pour « racisme antiblanc ».
D’ailleurs, on sait bien que si la condamnée n’avait pas été une Blanche raillant une Noire, le verdict aurait été très doux (ou il n’y aurait simplement pas eu de procès) : ce verdict de neuf mois ferme est donc lui-même raciste, anti-blanc.
Rappelons aussi que, pour prendre neuf mois ferme, il faut habituellement :
• forcer un barrage et blesser sept policiers (Ouest-France, 1er juillet 2014)
• tabasser sa femme jusqu’à lui briser les côtes et agresser un unijambiste à l’aide d’une massue à pics (L’Observateur du Valenciennois, 9 mai 2011)
• attaquer une famille et menacer de mort des policiers sous l’emprise d’alcool et de cannabis, en état de récidive (Ouest-France, 14 février 2013)
• tirer des coups de feu sur quelqu’un (L’Observateur du Douaisis, le 29 octobre 2011)
• être président local de SOS racisme, militant anti-violence, et défigurer sa compagne à coups de pied au visage, « avec acharnement », jusqu’à lui déchausser quatre dents, lui fracturer le nez, la couvrir de sang des pieds à la tête (la Voix du Nord, le 9 août 2012)
• se livrer à une séance de torture raciste sur un étudiant blanc – agression, séquestration, vol :
« Une nuit de cauchemar.
Un homme a été condamné lundi par le tribunal de Lille, à 15 mois de prison dont 8 mois avec sursis, pour une agression et une séquestration sur un étudiant, pour le motif que celui-ci était blanc.
Les faits, particulièrement violents, se sont déroulés dans la nuit du 13 juin, dans un appartement situé rue de la Clé, au cœur du quartier tranquille du Vieux-Lille, rapporte la Voix du Nord.
Après s’être fait voler sa carte bancaire et son code chez lui, la victime a vu revenir ses deux agresseurs, une heure plus tard, furieux de ne pas avoir pu retirer suffisamment d’argent liquide.
Commence alors une véritable séance de torture. Les deux hommes de couleur noire le frappe à plusieurs reprises, le force à avaler des médicaments et le recouvre de liquide de nettoyage en criant : « Les blancs, ça pue. » Son appartement est mis à sac et des inscriptions racistes sont taguées à la bombe: « Nike les blancs, Black Power revient. »
Au cours d’une patrouille policière juste après les faits et auquel participe la victime, un mineur de 15 ans est interpellé au parc Matisse de Lille. Son complice, âgé de 20 ans, déjà condamné pour l’agression d’une jeune femme le 3 juin dernier, est ensuite arrêté dans la foulée.
Malgré les aveux du mineur qui a avoué « qu’ils avaient envie de dépouiller un blanc », les magistrats n’ont néanmoins pas choisi de qualifier les faits avec la circonstance aggravante de l’acte raciste.
SOS Racisme Nord a réagi après cette condamnation. « Nous condamnons fermement les faits qui ont été commis et nous apportons tout notre soutien à la victime, indique à metronews Houmria Berrada, présidente de SOS Racisme Nord. Mais la sentence est sévère par rapport à d’autres types d’agressions racistes. Le juge a voulu faire un exemple. Nous demandons le même type de sévérité pour les agressions dans l’autre sens. » [infiniment moins nombreuses que les agressions anti-blanches – NDCI] » (source)