Au sein de la petite armée d’inquisiteurs présente dans les médias, pour entretenir un climat antisémite constant– de BHL à Finkielkraut en passant par Yann Moix –, Claude Askolovitch est sans doute celui qui s’illustre le mieux ces temps-ci. Déjà, pour mieux cerner ce guignol, il ne faut pas oublier le travail qu’avait fait le site Arrêt sur Images pour démasquer son jeu.
Un angle victimaire récurrent
Alors qu’il travaillait encore pour le Nouvel Obs en 2003, Askolovitch s’est en était pris ouvertement au journaliste Langlois qui avait, dans son « bloc note » au sein de Politis, pris la défense de Pascal Boniface (PS) en le soutenant dans les différents qui l’opposaient au « lobby sioniste » du parti socialiste. On se souvient qu’en 2001, Boniface avait dénoncé la complaisance de son parti envers Israël, et avait fait le lien avec les socialistes juifs tels DSK, Fabius et Moscovici, accusés alors d’avoir des intérêts communautaires.
Il existe un seul pays au mopnde dont la contestation de la politique et des faits entraine quasi obligatoirement une « chasse aux sorcières ».
On peut critiquer la Russie, la Serbie, la France…mais jamais Israel.
On sort toujours la culpabilisation en joker.
Quand les Arméniens, les Serbes ou les Grecs rappellent les génocides qu’ils ont aussi subis dans l’Histoire, « on » les accuse de « vieilles rancunes ».