« A l’avenir, nous contrôlerons régulièrement l’évolution du coût unitaire du travail dans chaque Etat membre. Ce sera un élément clé de la politique économique de l’Union européenne », déclare le commissaire Olli Rehn dans le quotidien économique allemand.
Il poursuit : »L’idéal serait d’autoriser, dans le cadre général des grilles salariales collectives, des accords décentralisés sur les salaires qui seraient basés sur l’évolution de la productivité des entreprises ».
Si ces déclarations sont vagues et n’engagent en rien, elles ne présagent rien de bon. En effet, les applications concrètes de cette proposition peuvent se révéler catastrophiques pour les salariés qui ne sont qu’un simple maillon de la chaine de productivité. De plus ce commissaire « européen » image parfaitement la volonté farouche qu’ont les technocrates européistes, de toujours plus s’ingérer dans les politiques économiques nationales.
Le site latribune.fr précise que : »Plusieurs pays, dont l’Autriche, ont exprimé des réserves à l’idée d’une supervision européenne de leurs politiques salariales. »
En dessous de l’article de latribune.fr il est intéressant de noter que les commentaires des lecteurs traduisent une colère certaine des français contre les institutions technocratiques bruxelloises.
Big Brother is watching you ..
A quoi bon s’exprimer en Français ?
Rares sont les personne qui arrivent encore à s’exprimer correctement
dans cette langue qui est devenue obsolète
et à l’écrire sans faire des tas de fautes d ‘ orthographe .
Je pense que » Big Brother » réfléchit à la question
¨personne¨avec un S …effectivement il faut voir le plus haut représentant de notre état pour voir le délabrement de notre culture en général …
Le Fonds Monétaire International vient de publier son rapport annuel sur les perspectives économiques en Europe, et le moins que l’on puisse dire est que l’avenir paraît bien sombre. Cliquer pour lire un résumé du Rapport du FMI