Deux journalistes du Figaro spécialisés dans le cinéma publient une critique au vitriole du dernier opus « La vérité si je mens » :
Le distributeur de La vérité si je mens 3 n’a pas convié Le Figaro à voir son film avant sa sortie en salle – selon l’usage. Dommage, on est sans doute passé à côté d’un chef-d’œuvre pour lequel aucune critique négative n’était autorisée. C’est donc avec un jour de retard que paraît notre compte rendu. Nos lecteurs voudront bien nous excuser de ce léger contretemps, exemple amusant de la guéguerre qui oppose parfois la critique à certains professionnels du cinéma, soucieux d’orchestrer une promotion sans faille. Quelques médias, TV, radios et magazines triés sur le volet, s’en sont chargés avec zèle en invitant maintes fois l’équipe du film à dire tout le bien qu’elle pensait de cette formidable aventure. Ce genre de procédé est si caricatural qu’il ne trompe personne. Évidemment, une telle sortie en fanfare (927 écrans!) et sous contrôle donne le vertige et sous-tend des enjeux commerciaux qui n’ont plus grand-chose à voir avec le 7e art.
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Marrant ce qu’écrivent les journalistes du figaro.
Malheureusement, soyons certains qu’un grand nombre d’imbéciles goys iront payer 10 euros pour voir cette merde et en ressortir en disant à tous : « c’était trop bien, on s’marre trop ! »
J’préfère relire « Bagatelles Pour Un Massacre »…
Vitriol svp (sans E final)
Merci !
Ce journaliste pète un plomb parce qu’il n’a pas été invité à cette grand-messe (hum…), il est vexé, c’est tout.
Cela dit, le fait qu’il critique un film parlant de juifs me parait suspicieux… serait il antisémite? rien que d’y penser j’entends des bruits de bottes au loin… j’ai peur…
Ce ne sont pas les bottes , mais le bruit des chenilles des chars d´assaut … enfin je crois…
Le Figaro a cessé d’être un journal sérieux depuis quelques années, et fait du « Libé » pour foyers bourgeois du XVIième.
Mais même dans ce temple de tiédeur et de conformisme, des gens commencent à se réveiller.
Un bon signe.