Amazon finance l’homofolie

Amazon, multinationale de vente en ligne (de livres surtout), était déjà condamnable dans son principe et dans ses pratiques commerciales lamentables.
On regrettera d’ailleurs qu’un certain nombre de sites parmi les plus connus de la « réacosphère » se soient acoquinés avec ce monstre capitaliste pour essayer de faire un peu de bénéfice. Espérons que l’annonce du soutien à l’« homofolie » par Amazon et son dirigeant soit la goutte d’eau qui fasse déborder le vase et mette un terme à cette vilaine situation.

Mieux vaut tacher de mettre petit à petit en place une économie solidaire et morale, comme nous tachons de la mettre en pratique de notre côté (voir colonne de droite), à notre échelle.

C’est Jeanne Smits qui nous rapporte la nouvelle :

Le fondateur d’amazon.com, Jeff Bezos, et sa charmante épouse Mackenzie viennent de faire un don de 2,5 millions de dollars pour faire avancer la cause du « mariage » homosexuel, rapportent diverses sources américaines.
Les dollars du couple multi-millionaire vont servir au financement de la campagne en vue du prochain référendum sur le sujet en l’Etat du Washington, sur la côte ouest des Etats-Unis.

C’est la pression des « anti » qui a permis finalement d’imposer la tenue d’un référendum. Après quoi, seule une décision de la Cour Suprême pourrait défaire le texte.

C’est une ancienne employée du vendeur de livres (et de tout le reste) en ligne, Jennifer Cast, aujourd’hui présidente d’une association de financement pour la cause homosexuelle en vue de ce référendum, qui a sollicité la bienveillance du couple en leur suggérant de faire un don de 100.000 ou de 200.000 dollars. Elle ne s’attendait pas à être éconduite, mais de là à « toucher » 10 ou 20 fois plus, il y a une marge. La réponse est pourtant venue quasi par retour de courriel : « Jen, cela est juste pour tant de raisons. Nous nous engageons pour 2,5 millions », signé : Jeff & Mackenzie.

Enfoncé, Bill Gates, qui n’avait donné « que » 100.000 $ pour la même œuvre, tout comme son collègue Steven A. Ballmer.