Les meurtres se multiplient (touchant heureusement surtout la pègre), mais la drogue, elle, arrose toute la ville.
La République livre le territoire et les Français à la criminalité et aux exactions étrangères.
Aujourd’hui Marseille, demain toutes les grandes villes.
Les policiers marseillais sont débordés, comme le montre cet article du Figaro, et chaque passage dans une zone envahie se traduit par des agressions :
«Depuis un an, notamment dans les quartiers nord, le sentiment d’impunité des gangs armés est tel que chaque intervention en zone sensible se fait sous les caillassages et que les patrouilles sont systématiquement prises à partie » explique un gradé.
« Récemment, on a dû mobiliser seize fonctionnaires de la PJ et des renforts de la BAC pour aller chercher un seul suspect dans une cité. Le rapport de force s’est inversé. » raconte un responsable syndical.
Les voyous sont surarmés, et la police locale a saisi depuis le début de l’année près d’une tonne de résine de cannabis, 192 armes longues, dont 31 kalachnikovs et 95 armes de poings. Et pas moins de 470 trafiquants sont tombés (pour pas longtemps, on peut le deviner).
La justice républicaine fait preuve d’une incroyable mansuétude à l’égard des criminels, loin du traitement qu’encourent les militants nationalistes. Ainsi, « en juillet dernier, un suspect recherché pour tentative d’homicide aurait ainsi été interpellé en possession de chargeurs de kalachnikov, de dix kilos de drogue et d’un revolver. Avant d’être relâché par le juge des libertés et de la détention. »