Deux informations qui ne laissent présager rien de bon pour les résistants patriotes et nationalistes. Ayant besoin de toujours plus fliquer la population pour mieux la tenir en laisse, le FBI « a renouvelé la semaine dernière son souhait de voir adoptée une loi qui obligerait les réseaux sociaux, les fournisseurs de services de VoIP, les éditeurs de messageries instantanées ou les hébergeurs de boîtes e-mail à concevoir un moyen technique permettant à la police d’accéder aux communications privées des suspects placés sous surveillance. » (source)
ET attention tenez vous bien : pour lutter contre le terrorisme, CleanIT propose ainsi tout simplement de bannir tout « contenu terroriste ». Or, cette idée suppose tout d’abord de trouver une définition commune à tous les pays d’Europe du terrorisme et de ce que peut-être un « contenu terroriste », au risque dans certains cas de violer la liberté d’expression de certains groupes. En outre, le projet propose d’également rendre illégal le simple fait de faire un lien hypertexte vers de ces « contenus terroristes ». CleanIT entend également mettre la pression sur entreprises du web en assimilant le fait d’avoir un groupe terroriste dans ses clients à une aide financière au terrorisme. Ainsi, le fait de « fournir des services internet » à l’un de ces groupes serait qualifié « d’aide économique (…) et serait donc un acte illégal ».
Parmi les autres mesures proposées risquant de déclencher un tollé figurent notamment le fait d’obliger les entreprises du web « n’autoriser que les vrais noms » des internautes, ce qui reviendrait à interdire tout pseudo, l’obligation de mettre sa vraie photo sur les réseaux sociaux ou encore l’obligation d’inclure dans les navigateurs un « bouton d’alerte »… (source)