« Féministe psycho-rigide, immigrationniste enragée, adversaire résolue de toute sorte de répression, Laurence Rossignol, apparatchik socialiste au-delà de la caricature, s’est fait agresser à Compiègne le 14 juillet alors qu’elle retirait de l’argent à un distributeur.
Scandalisée parce que personne ne l’a aidée à poursuivre son agresseur, Mme Rossignol épanche ses étâts d’âmes dans la presse locale. Pourtant, nul doute qu’elle aurait été la première à éructer si pareille mésaventure était arrivée à quelqu’un d’autre et que des badauds aient intercepté et mis hors d’état de nuire le délinquant, invoquant « un lynchage fasciste » ou une autre ineptie de vieille gauchiste fanatisée dont elle a le secret.
« Le premier problème de l’insécurité, c’est la lâcheté collective. » Voici que qu’ose déclarer sans rire la sénatrice outragée que l’on n’imaginait pas favorable à l’auto-défense et à la justice populaire immédiate. On ne sait pas si son agresseur avait le profil auvergnat mais on dirait que Mme Rossignol n’est pas encore prête à ouvrir les yeux sur les causes directes de l’explosion de l’insécurité, que ce soit dans la Cité impériale ou bien dans toute la France envahie par des millions d’étrangers inassimilables et criminogènes. »
Source T. Joly