Ce scandale aurait du provoquer des émeutes en Grande-Bretagne.
Petit rappel : 1 400 enfants mineurs ont été victimes de viols entre 1997 et 2013 à Rotherham, dans le nord de l’Angleterre. Ces crimes ont été commis avec la complicité des autorités. La police a reçu de nombreuses plaintes sans jamais enquêter ; les faits ont fait l’objet de trois rapports officiels, que les services de Rotherham ont ignoré ou censuré. Les victimes blanches ont subi le véritable racisme antiblanc du système. Le professeur Alexis Jay note que la police a « considéré un grand nombre de ces victimes avec mépris ». Certains fonctionnaires complices des racistes antiblancs ont « fait part de leur nervosité à identifier les origines ethniques asiatiques des auteurs présumés, de peur de passer pour raciste ».
La police arrête une victime alors qu’elle venait de reconnaître dans la rue un de ses agresseurs
Une victime du scandale des abus sexuels infligés aux enfants de Rotherham a affronté un homme qui avait abusé d’elle mais c’est elle qui a été arrêtée. La femme a été choquée quand elle a vu l’homme marcher dans le centre ville et a décidé de le défier. Mais elle a été arrêtée par deux policiers en la plaquant contre un mur comme un « voyou » selon un témoin de la scène. Un témoin a dénoncé la police agissant comme des voyous insensibles « un fourgon de police est venu et six officiers en sont sortis ». Deux d’entre eux l’ont emmenée de force, l’ont menottée et l’ont mise contre un mur pour ensuite la pousser dans le fourgon.