Omerta sur la souffrance des transgenres après leurs « changements de sexe »…

Omerta

Récemment, une étude anglaise révélait que 65% des personnes ayant eu recours à la de chirurgie esthétique le regrettaient. Du tatouage décidé un peu vite aux seins refaits pour tenter d’obtenir une plastique « parfaite », le remords prime quelques années plus tard… La star hollywoodienne Courtney Love avait même déclaré : « je voudrais juste retrouver la bouche que Dieu m’a donnée ». Mais rien de grave, les chirurgiens gagnant autant d’argent à faire qu’à défaire, les solutions existent donc et sont listées publiquement sur la toile…

Si deux tiers des personnes ayant eu recours à la chirurgie esthétique regrettent, la proportion doit être au moins aussi élevée pour les personnes ayant eu recours à un « changement de sexe », opération infiniment plus profonde… Mais sur le sujet, silence radio.

Rien, pas un mot ni dans les journaux, ni sur internet. L’omerta imposée par les activistes est plus fort que la souffrance pourtant réelle des personnes concernées. « Chacun fait comme il veut » certes, mais à condition que le lobby homosexualiste approuve. D’ailleurs ce dernier l’affirme : les regrets sont très rares et ne concerneraient que 5% des personnes qui ont eu recours à cette opération. Nous sommes tous priés de le croire puisqu’aucun d’eux n’a la parole.

Pourtant les témoignages existent, et les histoires tragiques de nombre d’entre eux devraient au minimum exiger une immense prudence.

L’histoire bien connu du petit David Reimer, qui avait subi une telle opération après avoir perdu son pénis lors d’une circoncision ratée, le montre déjà. Elevé comme une fille, il avait subi une opération de changement de sexe. Quelques années plus tard, se sentant toujours garçon, il avait fini par apprendre la vérité. Il était immédiatement redevenu un homme, avant de se suicider, ne supportant pas ce que ses parents et médecins avaient fait de lui.

Mais il est loin d’être le seul.
Alan Fitch, australien, avait décidé à 19 ans de « devenir une femme ». A 36 ans, en 2004, il confiait au journal The Guardian : « la transsexualité a été inventée par des psychiatres… Vous ne pouvez pas fondamentalement changer de sexe ».
Il était redevenu un homme, avait écrit un livre, discuté sur la toile… Mais les réactions des activistes transgenres avaient été violentes et ses écrits avaient rapidement disparu de la toile. Cachez cette souffrance qui remet en cause l’idéologie ambiante.

Rene Richards, champion de tennis qui avait lui aussi choisi de « devenir une femme » confiait en 1999 à Tennis magazine : « j’aurais mieux fait de rester tel que j’étais – totalement intact (…) Je reçois un grand nombre de lettres de gens qui pensent à faire cette opération… je les décourage ».     Mike Penner, journaliste sportif du Los Angeles Times, avait annoncé en 2007 son opération dans un blog qu’il tenait sur le site du journal avant de devenir un porte-parole actif de la cause transgenre. En 2008, il avait décidé de redevenir un homme dans le plus grand secret, son blog a mystérieusement disparu et un an plus tard, il se suicidait. A son enterrement, tout le gratin LGBT, venu salué la femme qu’il était devenu sans un mot sur l’atroce souffrance qui l’avait conduit à redevenir l’homme qu’il était.

L’histoire d’une jeune femme belge est également glaçante. Après avoir changé de sexe, elle avouait qu’elle ne se sentait toujours pas homme, mais « monstre » … Elle était si désespérée qu’elle avait alors réclamé l’euthanasie, permise pour cette raison dans son pays. Les médecins avaient tout simplement accepté, sans chercher à réconforter celle qui gênait par son témoignage…

En Suède, sans doute le pays le plus « friendly » du monde à l’égard des « transgenres », une étude montrait en 2003 que le taux de suicide des personnes ayant subi ce genre d’opération était bien plus élevé que dans le reste de la population. Les activistes assureront que l’homophobie ambiante et la transphobie culturelle en sont responsables… Ce n’est jamais ce que racontent les personnes concernées.

En 2010, deux anciens soldats devenus « femmes » avaient choisi de redevenir les hommes qu’ils étaient et avaient témoigné dans un reportage, depuis disparu de la chaîne officielle Youtube mais encore accessible sur internet…

Pendant que certains essaient de décourager d’autres personnes de faire ce qui leur a causé une souffrance immense et parfois mortelle, le lobby de la tolérance autoproclamé « camp du bien » pousse d’autres victimes dans le gouffre…