Ces clandestins n’obtiennent pas le bout de papier républicain, mais ils continuent de profiter de tout notre système social (aides financières, CMU, logement gratuit, scolarisation etc…). La première des mesure serait pourtant de les contraindre a rentrer chez eux…
Un véritable réquisitoire. Dans un rapport publié mardi 20 octobre, la Cour des comptes dénonce une politique de demande d’asile mal « maîtrisée ». Selon le document signé du premier président de la Cour, Didier Migaud, la longueur de la procédure contribue à ce que « in fine plus de 96% des personnes déboutées resteraient en France ». La Cour s’appuie sur des chiffres de la Direction générale des étrangers en France (DGEF), faisant état de 1 432 éloignements sur 40 206 personnes déboutées en 2014.
Au chapitre des coûts, la Cour note « des dépenses en forte croissance à mieux maîtriser ». Celles-ci se sont élevées à 690 millions d’euros en 2013, auxquels il faut ajouter les dépenses de santé et les frais de scolarisation, « qu’il est difficile d’évaluer avec précision ». Les dépenses ont ainsi augmenté de 52% entre 2009 et 2014, soit plus que la progression de 36% des demandes d’asile sur la même période. Source