Ankara aurait également des soucis avec les conditions assorties à l’injection des fonds. « Le gouvernement turc est contrarié par le fait que l’argent sera transmis progressivement et après des contrôles stricts sur l’usage qui en sera fait », a ajouté le diplomate.
La Turquie demande désormais une aide européenne de cinq milliards d’euros pour mieux contrôler ses frontières avec l’UE et maintenir les migrants, notamment les réfugiés syriens, sur son sol, a indiqué un haut diplomate européen au quotidien Die Welt.