Suite à l’article publié par Le Parisien concernant la situation catastrophique du quartier la Chapelle-Pajol à Paris (voir ici), le témoignage de cette militante de l’association SOS La Chapelle, confirme que les pouvoirs publics ne font rien, que les agresseurs sont des clandestins et qu’ils sont relâchés rapidement après chaque interpellation.