Imaginez un nationaliste qui croiserait dans un bar ce qui lui semble être un gauchiste et qui l’assassinerait à la sortie du bar. Il n’y a pas besoin d’être devin pour imaginer la réaction médiatique dans un tel cas – leurs réactions dans l’affaire Méric, par exemple, où les antifas étaient les agresseurs, indiquent amplement qu’ils en parleraient en long, en large, et en travers ; en faisant le sujet numéro un de l’actualité. Certes, pour un fait se produisant à l’étranger, l’attention serait moindre – mais pas nulle. La mort du rappeur antifa grec Pavlos Fyssas en 2013, justement à la sortie d’un bar, le prouve clairement. À l’époque, Le Monde avait publié en moins de 48h un article titré La Grèce sous le choc de la violence d’Aube Dorée.
Mais ici, c’est un gauchiste dégénéré qui a assassiné un homme lui paraissant trop patriote. Aussi, même si les faits se sont déroulés en Espagne, un pays voisin du nôtre, la presse dominante garde un silence total sur l’affaire : Le Figaro, Le Monde, Libération… Pas un mot !
Victor Lainez, un homme de 55 ans vivant à Saragosse, est pourtant décédé ce mardi soir des suites de blessures cérébrales irréversibles après une agression à la sortie d’un bar de la ville vendredi dernier.
Lui reprochant de porter des bretelles reprenant les couleurs de l’Espagne, deux militants de l’extrême gauche la plus violente l’ont alors frappé à coups de barre de fer dans la tête, avant de s’acharner sur lui à coups de pieds de coups une fois qu’il était mourant au sol, comme l’a révélé l’autopsie. Les deux agresseurs ont ensuite pris la fuite en courant.
L’un des suspects n’est autre qu’un antifa d’origine chilienne, Rodrigo Lanza, qui a déjà accompli 5 ans de prison pour avoir violemment agressé et rendu tétraplégique un policier à Barcelone en 2006.
En bons chiens de garde du mondialisme, ces asociaux haineux mènent dans tout le pays des redoutables campagnes d’agressions contre ceux qui refusent de voir leur Patrie mourir sous les coups de boutoir des séparatistes et des instances anti-nationales.
Ce crime est d’autant plus odieux et symbolique que la victime, Victor Lainez, est un ancien légionnaire de l’armée espagnole, un modèle de patriotisme et de bravoure.
Le mouvement nationaliste déplore lui aussi la disparition de l’un des siens, puisque Victor Lainez était un militant de longue date.
Depuis la guerre civile un tel crime ne s’était pas produit.
Même les autorités régionales et une partie de la classe politique s’en sont émues : en effet, jamais l’extrême gauche n’a été aussi violente au cours de ces 10 dernières années, amenant le délégué du gouvernement de la région de Murcie à qualifier ces actes criminels de « terroristes ».
Est-il nécessaire de rappeler les agressions dont ont été victimes trois militants nationalistes lors de la dernière « marche des fiertés » (sic) dans l’indifférence générale ?
Honneur à Victor Lainez, honneur aux martyrs de l’Espagne éternelle !
Sources CLAN, Blanche Europe et L’indépendant