Tarik Jadaoun, né en 1988 et d’origine marocaine, avait rejoint l’EI en 2014 sous le nom de guerre d’Abou Hamza al-Belgiki. Lors de la première audience de son procès devant la Cour pénale centrale de Bagdad, le 10 mai, il avait plaidé « non coupable » et affirmé aux juges qu’il s’était « fourvoyé ».
Il était également inculpé pour « attaques » menées avant son arrestation le 23 août 2017 à Mossoul par les troupes irakiennes, un mois après la reprise de la ville.
Pas une perte! Que la sentence soit exécutée sans faiblesse et que tous les autres combattants de l’Etat islamique (dont les « français » et les « françaises ») connaissent le même sort!