Dans notre société qui s’enfonce dans la folie, les enfants ne sont pas épargnés.
Au collège de la Grange du Bois, à Savigny-le-Temple (Seine-et-Marne), les élèves de 6e et 4e ont dû il y a quelques jours appeler – du jour au lendemain – « Madame » leur professeur de français Monsieur B., et celui-ci vient désormais « habillé en femme ».
Le professeur a en effet décidé qu’il était maintenant une femme…
La principale du collège est intervenue auprès des élèves dans toutes les classes avant d’adresser un courrier à leurs parents vendredi dernier, courrier que Contre-info s’est procuré :
Le Parisien précise que la principale avait obtenu l’accord du rectorat de l’académie de Créteil et de la direction départementale des services de l’Éducation nationale.
La FCPE- principal syndicat de parents d’élèves, d’obédience communiste – réagit : « Rien ne nous choque ; ni le sujet ni la circulaire. »
Qui, dans l’éducation nationale, est qualifié(e) pour entériner le « changement de genre » d’un enseignant? Quel crédit cette institution accorde t’elle à cette notion de genre?
Comment voulez-vous que les jeunes s’y retrouvent dans ce grand, grand, grand n’importe quoi! C’est mission impossible.
Il n’y a plus aucun axe, tout vole en éclat.
Sans étalon, plus rien n’est identifiable, en capacité d’être conscientisé. C’est la confusion crasse à tous les étages.
Rester en bonne santé mentale relève aujourd’hui de la prouesse presque miraculeuse!
En lien…
« Le philosophe Bertrand Vergely démonte avec brio et audace les chantres du transhumanisme qui font la promotion de l’humanisation des robots, des nouvelles parentalités, de l’humain augmenté. Le constat est sans appel : la fin de l’homme a vraiment commencé. Mais l’avenir est imprévisible et la résistance relève la tête. Un témoignage puissant et pédagogique. »
https://www.tvlibertes.com/2018/05/23/23147/bertrand-vergely-fin-de-l-homme
Ce professeur ne pouvait-il pas attendre la fin de l’année scolaire en ‘restant homme’? Il se faisait muter dans un autre établissement à la rentrée prochaine avec son statut de femme et ça aurait évité un traumatisme aux collégiens !!
et , naturellement , la principale, appelle les élèves à faire montre en la circonstance d’un esprit républicain complètement licrasseux, —
-alias « tolérance »-, envers les pires folies et aveux de déchéance.
il s’ agit aussi de pourrir les élèves, une mission prioritaire de l’ école laïque , maçonnique et obligatoire.
Rester en bonne santé relève de la prouesse ?!
Tout à fait Catherine , j’ai déjà entendu un psy dire de quelqu’un « il est équilibré …. bizarrement ! »
C’est vrai qu’il est bizarre et étrange qu’il existe encore des gens équilibrés dans ce monde , en général , ils sont d’une certaine génération …
Chez les jeunes , les troubles somatiques sont en constante progression …….
Intéressant ce qu’en dit, Dany-Robert Dufour dans son livre »La Cité perverse » libéralisme et pornographie p 316.
« Que ces solutions, procédant d’un rapport mensonger à soi et aux autres, soient si répandues aujourd’hui dans le corps social ne peut signifier qu’une chose: la Cité ne cherche plus, ou même ne veut plus s’accorder à la vérité, sur un point aussi capital que celui où porte la pérennité de l’aventure humaine. Cela peut se dire en un mot: nous avons alors affaire à une Cité qui est devenue perverse. »
Toujours le même livre cité plus haut, ici, p 313
« Le pervers est celui qui objecte aux lois, celles des hommes aussi bien que celles de la nature dit-il. Ce qui donne ce genre de formulations: » je suis un homme dans mon corps, mais dans ma tête, je suis une femme ou l’inverse. Il ne faut pas s’y tromper: ces formulations très communes, sont frappées au coin de la rhétorique perverse la plus manifeste, celle-là même qu’avait épinglée Octave Mannoni dans sa fameuse ritournelle destinée à formuler le mécanisme du déni, central dans la perversion: je sais bien ( que je suis un homme) mais quand même(je suis une femme). Le « mais quand même »signifiant que, quoi qu’il en soit du réel de ma sexuation, je peux décider ce que je veux. En d’autres termes, il est hors de question que je me laisse arrêter par de sordides détails matériels, puisque, de toute façon, ce que j’ai dans la tête prime sur ce qu’est mon corps. Donc, je suis une femme. Cela s’appelle tout simplement subvertir la Loi puisqu’en fait-un fait dont je ne veux plus rien savoir-je suis un homme. »
Encore une tare de plus en France
C’est tout bonnement hallucinant que l’éducation nationale (sans majuscule…) ait pu avaliser un tel comportement, laissant parents et autres enseignants face à la responsabilité d’expliquer les faits aux enfants. C’est un véritable scandale, qui mériterait à l’encontre de ce professeur, au bas mot, une mise à pied décrétée de toute urgence par son administration elle-même. Ce (cette) professeur aurait bien mieux fait d’attendre ses prochaines vacances (pourtant fort nombreuses…) ainsi que demander une mutation (très loin…) plutôt que de risquer l’incompréhension et les questionnements, à juste titre, des élèves ainsi pris en otage… Du très grand n’importe quoi, parfaitement à l’image de ce que notre société sait dorénavant nous apporter. Honte à ce (cette) professeur, qui bafoue ainsi les valeurs qu’il est sensé apporter à ses élèves…
n importe koi
Un licenciement pour le prof pour faute lourde ou au moins une mutation d’office eut été logique. Plus une obligation de soins PSYCHIATRIQUES.