Chaque année, plus d’un millier de mineures néerlandaises sont victimes d’abus sexuels et d’exploitation, cet esclavage sexuel est organisé par de jeunes proxénètes issus de l’immigration, révèle une enquête. Le journal hollandais qui l’a menée a contacté des travailleurs sociaux, la police et des experts en la matière.
« A l’aide de cadeaux, de boissons et de drogues, des soi-disant «loverboys» parviennent à avoir des relations sexuelles avec des filles vulnérables avant de prendre des photos ou filmer des vidéos compromettantes qui serviront de levier pour extorquer les jeunes filles et les forcer à se prostituer.
« Ces hommes sont principalement marocains, turcs, caribéens et roms. La majorité d’entre eux sont issus de l’immigration », a déclaré Gideon van Aartsen de Watch Nederland, une initiative qui coordonne avec la police nationale les efforts de lutte contre l’exploitation sexuelle des enfants (CSE).
Il a déclaré au journal que vendre des relations sexuelles avec des écolières est un « commerce lucratif » qui peut rapporter « jusqu’à 800 euros par jour et par fille » pour les proxénètes, dont la plupart font partie de réseaux plus importants impliqués dans le trafic de drogue et le trafic d’armes.
Chaque année, environ 1 400 mineures hollandaises sont victimes des ces « loverboys », un terme utilisé pour désigner les jeunes hommes qui traquent des jeunes filles mineures pour les obliger à vendre leurs corps, selon Marijke van Overveld et Esmee Huijps.
« Le processus de séduction prend seulement entre une semaine et une quinzaine de jours, alors que cela prenait des mois », a expliqué Huijps, expliquant que les filles devaient accepter de travailler comme prostituée, ou des vidéos pornographiques (sextapes) de ces jeunes filles seraient diffusées sur les réseaux sociaux.
« Une fois qu’ils ont une vidéo compromettante de vous, cela suffit pour le chantage. Surtout pour les jeunes filles, dont les parents ne savent rien. »
« Ces filles mineurs, qui ont une vie instable et vivent souvent dans la pauvreté, reçoivent des ordres comme « amène trois copines la prochaine fois, et je t’obligerai à baiser avec cinq hommes de moins chaque jour. » »
Algemeen Dagblad
Traduction FDS
Et en France combien… ???
Tous les flics connaissent par leur petit nom les maquereaux du secteur…(comme les antifas d’ailleurs…Julien Terzic, les frères Bernanos…)
On ne met pas dans un hotel de passe ou sur le trottoir des filles comme cela…
Conclusion: les poulets touchent des petits billets des hoteliers et des proxo sinon et bien la législation « quand elle s’applique »; elle est rude:amandes records, saisit des biens immobiliers et peines de prisons très très lourdes (à une vitesse record).
On ne peut mener ce genres d’affaires qu’avec de solide tolérance!
Faut arreter de dire des conneries à la chaine que ce soit en Grande-Bretagne ou au Benelux. Le problème ne vient pas des immigrés mais de la magistrature et de la police qui laisse faire et j’en ai l’intime conviction certains fonctionnaires doivent avoir un niveau de vie qui ne correspond à leur revenu.
Regardez sur Paris banlieue le nombre de basanés qui travaillent dans les commissariats , la flopée de commissaires Franç-mac et le nombre de magistrats membre d’une loge ou du syndicat de la magistrature… imaginez la suite.
Tout est dit quand on sait l’origine des souteneurs !
La situation en France, la voila: cet article a été relayé par contre-info, donc rien à envier à nos voisins… Que de drames en cours, et aussi à venir… En outre, et avec « l’aide » de population allogènes spécialisées dans ce genre d’activités ne nécessitant ni diplôme, ni carte d’électeur, et leur conception pour le moins rétrograde du statut de la femme, ce genre de faits divers (hélas…) n’est pas près de diminuer en intensité ni en barbarie…
https://www.20minutes.fr/justice/2277267-20180525-val-oise-reseau-prostitution-foyers-aide-sociale-enfance