Selon un rapport parlementaire (voir ici), les clandestins pèsent entre 8 % et 20 % de la population de la Seine Saint-Denis. Dans certaines villes, plus près de neufs enfants sur dix (de moins de 25 ans) ont au moins un parent immigré… La situation est catastrophique, mais selon les médias « mainstream », la substitution des Français par des populations allogènes est une théorie complotiste.
« Le département est un sas d’entrée de la France par l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle qui accueille chaque année 65 millions de passagers, dont 35 en entrée sur le territoire. Sur le flot d’entrants figurent des personnes désireuses de demeurer en France mais ne disposant pas des titres de séjours les y autorisant. S’ils ne figurent pas dans les statistiques officielles, ces hommes, femmes et enfants sont une réalité démographique avec laquelle les pouvoirs publics doivent compter », poursuivent les auteurs. Les « personnes en situation irrégulière seraient entre 150.000, 250.000 voire 400.000 », ce qui équivaut à la population d’un département comme l’Ariège (152.000 habitants), le Jura (259.000 habitants), voire les Landes (411.000). Bref, entre 8 % et 20 % de la population.
Pour la seule immigration régulière, le rapport rappelle que, « parmi les 36 communes de France métropolitaine comptant plus de 10.000 habitants et dont plus de 30 % de la population est d’origine étrangère, 15 sont situées en Seine-Saint-Denis». Pour autant, selon ce document, «cette population immigrée n’est majoritaire dans aucune commune. Les maximums sont atteints à La Courneuve et Aubervilliers (43 %). Dans ces deux communes, plus de huit enfants sur dix (de moins de 25 ans) ont au moins un parent immigré (88 % à La Courneuve, 84 % à Aubervilliers). »
« Cette réalité amène assurément à sous-estimer la réalité sociale de la Seine-Saint-Denis eu égard au poids de la population étrangère irrégulière. Or, affronter la réalité dans un cadre d’action publique exige d’être plus précis », assurent les auteurs du rapport. Ils ajoutent même: « Pour identifier des phénomènes urbains de ghettoïsation, pour expliciter des difficultés scolaires, pour lutter contre les discriminations, pour adapter les moyens de la police et de la justice à une population spécifique, se pose alors la question de l’établissement de statistiques dites ethniques. »
Inquiets du fracas de la mer et des FLOTS ( humains) ( Eschatologie )
Quand donc les Français feront-ils effort pour comprendre que leur abandon de Dieu et cause de leurS malheurS