« L’Union Européenne, à l’instar du gouvernement français, veut renforcer massivement la censure de l’internet face à la montée en puissance de la contestation populaire.
Le Commissaire de l’UE pour la Justice (non-élue), la Tchèque Věra Jourová, a appelé à la mise en oeuvre d’un vaste plan de censure des médias et des réseaux sociaux par Bruxelles.
Politico (source) :
Une dangereuse version du nationalisme est “non seulement visible à travers la popularité croissante des partis extrêmes” mais est également évidente dans le spectre politique modéré qui “accepte quelques éléments de cette rhétorique de division” a déclaré la commissaire dans un discours à Vienne.
La commissaire à la Justice Jourovà a appelé les dirigeants politiques à prendre des mesures.
“Les médias peuvent bâtir une culture du dialogueou semer la division, répandre de la désinformation et encourager l’exclusion” a ajouté la commissaire. “Le débat sur le Brexit est le meilleur exemple de cela.” Les politiciens devraient “faire preuve de responsabilité et de retenue” et doivent “réaliser que leurs mots peuvent devenir une justification pour certaines personnes qui veulent agir en conséquence de leurs pulsions et de leurs peurs”.
Les médias sont “essentiels pour demander des comptes aux hommes politiques et définir les limites ce qui est acceptable dans une société” a assuré Jourová.
La commissaire européenne, non élue, a appelé à un nouveau contrôle des médias, déclarant qu’elle soutiendrait une “approche européenne”.
Il est assez ironique et révélateur qu’au nom d’une prétendue “culture du dialogue” une bureaucratie non-élue veuille empêcher les peuples du continent de s’exprimer librement en renforçant le contrôle des médias ou des réseaux sociaux.
L’Union Européenne entend exercer un contrôle croissant sur les médias, internet en tête, pour “définir ce qui est acceptable” et priver de liberté d’expression tous ceux qui s’opposent aux orientations qui sont les siennes, notamment sur les questions d’immigration clandestine. »
Source Boris Le Lay