Dans la nuit du 4 au 5 février, rue Erlanger à Paris, un incendie criminel tuait 10 personnes et en blessait de nombreuses autres.
Pendant plusieurs jours, les gros médias donnaient les prénoms de témoins ou victimes, mais pas celui de la suspecte, arrêtée pendant l’incendie alors qu’elle tentait de mettre le feu à un véhicule.
Ce simple fait, de la part des médias dont le but n’est pas d’informer les Français mais de diffuser une idéologie cosmopolite et remplaciste, laissait deviner que la criminelle était un énième cadeau de la diversité.
Quelques jours plus tard, alors que l’émotion retombe, on découvre qu’il s’agit d’une certaine Essia Boulares.
Certains internautes posent de bonnes questions quant à ce profil emblématique :