Toujours intimidée par les médias de gauche et leur politiquement correct, la présidente du Rassemblement national a de nouveau fait mine, dans le contexte de l’attaque sanglante d’une mosquée en Nouvelle-Zélande, de ne pas savoir ce qu’est le « grand remplacement » :
« Je ne connais pas cette théorie du ‘grand remplacement’. Je n’ai jamais utilisé ce terme-là », a-t-elle déclaré sur France 3 dimanche.
Le « grand remplacement » n’est hélas pas une « théorie », comme le serinent les médias, repris par Marine Le Pen.
Cette expression mise en lumière par l’écrivain Renaud Camus désigne un fait, particulièrement grave et menaçant : le remplacement d’un peuple, le peuple français autochtone, par un nouveau peuple issu de l’immigration massive (15 à 18 millions de non-européens en France) et du métissage généralisé.
C’est une réalité, cachée par le gouvernement qui interdit toutes statistiques ethniques.
A ce jour, Nicolas Dupont-Aignan est le seul candidat important ayant utilisé (une fois) cette expression qui a le mérite de l’éloquence.