A peine les commémorations de la Première guerre terminées, la nouvelle, brutale, vient de tomber :
« Le Conseil supérieur des programmes a décidé que la bataille de Verdun ne serait plus enseignée dans les lycées dès la rentrée 2019 » (source)
La bataille de Verdun (février-décembre 1916) n’est rien moins que la plus sanglante que la France ait connue : pas moins de 170 000 de ses fils y ont fait le sacrifice suprême, illustrant au plus haut point les vertus de générosité et d’héroïsme de notre race.
De plus, c’est une victoire.
Mais après tout, il n’est pas étonnant qu’un pouvoir antinational comme celui que subit la France depuis des décennies cherche à effacer la mémoire de notre peuple.
Il ne faudrait pas en effet pour eux et pour leur projet mondialiste qu’il y ait un regain de nationalisme…
Et puis, « le vainqueur de Verdun » n’est autre que le Maréchal Pétain, héros encombrant pour certains, dont la mémoire est déjà soigneusement effacée de notre histoire, de nos rues, etc.
Bref, la République cosmopolite donne une deuxième fois la mort aux soldats tombés à Verdun, symbole de la résistance acharnée des Français durant la Première guerre.
Les jeunes sortent du lycée ignares, analphabètes, pervertis (« éducation » sexuelle, pornographie…), culpabilisés (shoatisme, bobards sur l’esclavage…)… mais l’important, n’est-ce pas, c’est qu’ils « respectent les valeurs de la République ».